La République dominicaine, c’est le retour à une vie plus comme nous la connaissons chez nous. Il y a de la vie ici! Des voitures, des motos, de la musique partout, les rues grouillent de gens, de vie, de commerces. Nos sens sont surexposés après cette longue trêve des îles calmes des Bahamas et d’Haïti, mais franchement, on aime ça! Pour nous, Ronald et Catherine, c’est un retour dans l’Amérique latine que nous aimons beaucoup! Et pour les enfants, ils avaient hâte de découvrir les marchés, les bouffes de rue et de vivre ce que papa et maman ont vécu il y a plus de 15 ans déjà dans leurs premiers voyage sac à dos!
Mais avant la vie grouillante de la ville, un autre mouillage isolé et paisible sur Isla Beata, une île Parque nacional, une île habité seulement par les pêcheurs, pleine de promesse, que nous n’avons cependant pu qu’admirer que du bord d’Oséo. Arrivés en fin de journée, nous repartions déjà la nuit suivante pour une longue navigation de plus de 60 miles vers Barahona.
La vie grouillante, c’est donc à Barahona que nous l’avons trouvé. Une ville tout à fait locale, 100% dominicaine, pas du tout axée sur le tourisme. Nous y avons passé deux jours et demi. Deux jours à :
…se procurer un forfait internet pour le pays (Ronald en avait un besoin viscéral!), forfait qui devait bien marcher, mais évidemment, ça marche très à moitié.
…déambuler d’une rue à l’autre.
…à manger dominicain. Et on mange bien, trop plutôt! Les assiettes sont gargantuesques!
…manger une helado! Enfin, ça faisait plus de deux mois qu’on n’en avait pas trouvé! Miamm!
Et également à y faire le marché. Il y a bien plusieurs épiceries plus ou moins grandes, mais elles sont bien peu garnies en fruits et légumes. Pour cela, on doit nécessairement se rendre au Mercado, le marché extérieur. Et comme je disais, les enfants avaient bien hâte de découvrir ces marchés. Ils ont été choyé! Le marché de Barahona est vaste et typique : poulet vivant, odeurs puissantes, beaucoup de gens, des mobylettes qui circulent partout et, bien sûr, des fruits et des légumes!
On y trouve tout ce que nous avons besoin pour plusieurs jours!
Et de retour au bateau, c’est le traditionnel grand nettoyage de tous les achats. On se contraint rigoureusement à ce régime du grand nettoyage des fruits, légumes et de tout ce qui entre dans le bateau depuis notre arrivée sous les tropiques, soit depuis les Bahamas. Pourquoi? Pour éviter d’amener à bord des indésirables, genre coquerelles… Et voilà le travail!
Et maintenant, la vision des enfants du marché dominicain! Ils ont eu un travail d’écriture à faire sur le sujet et ont confiné le tout dans leur Carnet de voyage.
Julien Léa
WoW!!!! Vos photos sont un vrai délice pour les yeux.Ça nous transporte en voyage! J’adore votre beau bronzage!!!!!Bravo, je vous suit avec tant de plaisir!!!!
Je vous lis depuis le début de votre aventure, et je vous trouve très inspirants, bravo, c’est un cadeau de famille que vous vous offrez (avec les hauts et les bas). Continuez à écrire, j’adore!
Stéphanie Charland
salut c est papi je vous relis avant de mes couche je corige les devoir bonne nuit xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
Très belle réflexion et merci pour ce commentaire. La différence entre le rêve et la réalité est là. Je navigue depuis de nombreuses années et il ne faut pas juste rêver mais être capable de profiter de la vie.Je vous souhaite de joyeux moments. C’est ce qu’il y a de plus important.